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Après quoi courrez-vous ces derniers temps ? Êtes-vous certain que si vous réussissez à atteindre votre but vous serez satisfait pour autant?
bonjour,
je viens te souhaiter un bon week-end, un joyeux réveillon ainsi qu’une excellente année 2018 !
sur
Par chemindivin, le 29.12.2017
bonjour,
je viens te souhaiter un très bon week-end !
ainsi qu’un joyeux noël !
plein de joie, d’amour, de
Par chemindivin, le 22.12.2017
d' où viennent nos problèmes ?
nous étions tous prédestinés pour êtres incarnés sélectivement suite à des fa
Par sainte-trinite, le 07.10.2017
bonsoir, nous te souhaitons une bonne soirée ainsi une bonne nuit, bise @+ angel et robert http://robert8 7300
Par robert87300, le 12.07.2017
je viens te souhaiter une bonne fin de journée du vendredi saint !
ainsi qu’un bon week-end pascal !
a la se
Par chemindivin, le 14.04.2017
Le courage, ce n'est pas la force de continuer, mais le fait de continuer sans en avoir la force.
Date de création : 19.02.2012
Dernière mise à jour :
17.11.2024
896 articles
L'homme qui a crucifié Jésus
Lisez Matthieu 27:33-54!
Nous savons très peu de choses sur cet homme. Son nom, son domicile, son âge, sa nationalité nous sont entièrement inconnus. Nous savons qu’il accomplissait son service dans la province de Judée. C’était lui qui était chargé de la crucifixion et qui exposa Jésus devant la foule moqueuse.
La Bible nous parle de plusieurs centeniers, commandants dans l’armée Romaine. Il y avait :
- le chef de la garnison de Capernaüm dont la foi fut mentionnée par le Seigneur lui-même
- Corneille, de la cohorte Italienne, premier non-Juif converti par Simon Pierre - Julius, de la cohorte Auguste, qui traita Paul avec tant de bienveillance
- et le centenier qui crucifia le Christ Le jour de la mort de Christ au moins deux hommes se sont confiés en lui : le premier, un Juif sur la croix à côté de lui, le second, le centurion au pied de la croix. L’un, un homme qui l’avait maudit ; l’autre, l’homme qui le crucifia. Imaginons maintenant la colline du Calvaire et la scène de la crucifixion avec les yeux du soldat non-Juif. Il crucifia le Christ
La Bible ne décrit pas en détail cette scène. C’était d’ailleurs un spectacle courant à cette époque. Mais avec un peu d’imagination, nous pouvons en dépeindre le déroulement : d’un côté la victime qui se débattait et de l’autre les soldats romains qui enfonçaient leurs clous dans les chairs tendres pour atteindre le bois rugueux. Ensuite, le bruit sourd de la croix plantée dans la terre. Puis, vinrent les terribles et longues heures, dans la chaleur brûlante, devant une foule moqueuse et injurieuse.
Voilà ce que le monde a fait au Fils de Dieu. Le monde l’a crucifié et ce centenier a exécuté la sentence. Si vous l’aviez interrogé, il aurait probablement répondu : « Ce n’est pas ma faute. Je n’en suis pas responsable. Ce n’est pas moi, en réalité, qui l’ai crucifié ; ce sont ces gens-là qui l’ont fait. Je ne suis pas aussi coupable que ces sacrificateurs qui l’insultent. » Mais le fait demeure, il avait poursuivi son chemin avec la foule et avait crucifié le Fils de Dieu.
Nous avons une Bible complète à notre disposition, ce qui n’était pas le cas pour ce soldat romain. La Parole de Dieu nous parle de l’issue de ce crime épouvantable. La Bible nous avertit qu’il ne faut pas négliger le salut que Dieu nous a racheté par la mort de son Fils (Hébreux 2.3). Nous devons soit accepter son sacrifice pour nous par la foi, soit le rejeter. Nous devons admettre, qu’en dehors de Christ, nous n’avons pas d’espoir.
La crucifixion du Christ est aussi importante aujourd’hui qu’à l’époque. Dieu va juger tout homme à la lumière du Calvaire. Où en êtes-vous ? Dans la personne de Jésus, Dieu est venu marcher parmi les hommes sur cette terre. La réaction du monde a été de se débarrasser de lui. Sa réaction serait la même aujourd’hui. Le monde le crucifierait à nouveau, s’il le pouvait. Le feriez-vous ?
Il considéra le Christ
Pour ne pas crucifier le Christ à nouveau par notre incrédulité, nous devons d’abord cesser d’être indifférent et négligent concernant sa mort. « Considérez, en effet, celui qui a supporté contre sa personne une telle opposition de la part des pécheurs. » (Hébreux 12.3) C’est ce que fit le centenier. Il prit rapidement conscience de ce qu’il avait fait. Il commença à considérer le Christ et ne tarda pas à mesurer qui était véritablement Jésus.
Nous ne comprenons pas comment le Fils de l’homme a changé la croix romaine en un trône. D’une certaine manière cet événement avait l’air de couronner un roi plutôt que de le tuer. Le centenier n’avait jamais vu un tel calme face à tant de cruauté et une telle majesté affrontant une telle misère.
Il entendit Jésus s’écrier : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. » (Luc 23.34) Ces paroles le saisirent et l’étonnèrent. Il avait souvent vu des hommes mourir, mais il n’avait jamais vu aucun crucifié prier de cette manière. Personne n’avait jamais parlé comme lui. Quel genre d’homme était-il donc ? Le centenier était impressionné par le comportement et les paroles de Jésus. Puisque Jésus-Christ est notre Dieu, saint et aimant, ses paroles ne sont pas sans effet sur nous.
Puis, le centenier mesura toute la profondeur et le sens des souffrances du Christ. Il ne s’agissait ni de la torture physique de la crucifixion qu’il avait vu bien des fois auparavant ni de la haine de la foule. Tout cela était assez commun lors d’une crucifixion, quoique, probablement, jamais aussi intense qu’en cette occasion-là. En fait les effrayantes ténèbres qui tombèrent sur tout le pays pendant 3 heures l’impressionnèrent plus encore. C’était étrangement minuit à midi. Jésus s’écria : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » (Matthieu 27.46). Cette douleur dépassait de loin toute douleur humaine et était infligée à Quelqu’un de saint, innocent et sans péchés.
Et enfin, le centenier réalisa la puissance de Jésus-Christ. Quand Jésus rendit l’âme, la terre trembla, les rochers se fendirent et le voile du temple se déchira du haut en bas. Tous ces événements suffisaient pour remplir de crainte même un solide soldat romain.
Mais, peut-être que le plus grand de tous les miracles ce jour-là fut-il la conversion de l’un des brigands crucifiés avec le Christ ? « Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis. » (Luc 23.43) avait dit Jésus à cet homme, lorsqu’il se fut enfin tourné vers lui. Le changement soudain et saisissant dans son attitude et ses paroles ont du convaincre le centurion que cette crucifixion n’était pas ordinaire.
Ainsi, plus le centenier considérait le Christ, plus il devenait conscient que Jésus était un être unique, qu’il était plus qu’un homme… et il l’avait crucifié ! Il avait suivi la foule et avait crucifié le Christ. Avez-vous considéré réellement le Christ et saisi vraiment ce que sa mort signifie pour vous ?
Il confessa le Christ
« Si tu es le fils de Dieu, descends de la croix ! » (Matthieu 27.40) raillèrent les religieux. « N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et sauve-nous ! » (Luc 23.39) hurlèrent les brigands mourants. Le Fils de Dieu ! Voilà la vérité ! « Assurément, cet homme était Fils de Dieu. » (Matthieu 27.54) dit enfin le centenier.
Le centenier déclara : « Certainement, cet homme était juste ! » (Luc 23.47), puis, « Assurément, cet homme était Fils de Dieu ! » Par cette simple confession, il fit le pas décisif qui le mit au rang de ceux qui sont sauvés par l’œuvre de la croix. Précédemment, Pierre avait aussi reconnu : « Tu es le Christ » (Matthieu 16.16-17) et le Seigneur lui répondit : « Ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est mon Père qui est dans les cieux. »
Ainsi, l’homme qui avait crucifié le Christ et qui avait considéré son œuvre, maintenant confessait sa foi en lui. Par ces paroles, les seules enregistrées dans la Bible, cet homme révélait que son cœur avait été touché, que ses yeux s’étaient ouverts. Il devenait l’une des très, très rares personnes qui vinrent à la croix ce jour-là et se rangèrent au côté du Christ.
Quelle est notre position face à la croix ?
1. Soit nous crucifions le Christ, en suivant la foule et en se rangeant du côté du monde.
2. Soit nous considérons le Christ, réfléchissant sur ce que sa personne, ses souffrances et sa puissance veulent dire pour nous, sans prendre position.
3. Soit nous confessons le Christ parce que nous avons eu le cœur touché, les yeux ouverts, et la langue libérée pour le confesser comme Fils de Dieu, comme notre Sauveur personnel et le Seigneur de notre vie.
Etudions la Bible