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Après quoi courrez-vous ces derniers temps ? Êtes-vous certain que si vous réussissez à atteindre votre but vous serez satisfait pour autant?
bonjour,
je viens te souhaiter un bon week-end, un joyeux réveillon ainsi qu’une excellente année 2018 !
sur
Par chemindivin, le 29.12.2017
bonjour,
je viens te souhaiter un très bon week-end !
ainsi qu’un joyeux noël !
plein de joie, d’amour, de
Par chemindivin, le 22.12.2017
d' où viennent nos problèmes ?
nous étions tous prédestinés pour êtres incarnés sélectivement suite à des fa
Par sainte-trinite, le 07.10.2017
bonsoir, nous te souhaitons une bonne soirée ainsi une bonne nuit, bise @+ angel et robert http://robert8 7300
Par robert87300, le 12.07.2017
je viens te souhaiter une bonne fin de journée du vendredi saint !
ainsi qu’un bon week-end pascal !
a la se
Par chemindivin, le 14.04.2017
Le courage, ce n'est pas la force de continuer, mais le fait de continuer sans en avoir la force.
Date de création : 19.02.2012
Dernière mise à jour :
22.11.2025
900 articles
Fille de bar, fille de motard, fille de Dieu
Diane Paquet raconte:
Dès l’âge de 18 ans, mes amies et moi fréquentions les bars. Chaque vendredi soir, on se préparait à sortir à la recherche d’un gars qui nous remarquerait. Comme j’étais, et je suis encore, une fille de beauté moyenne, je redoublais d’efforts pour paraître plus jolie en dépensant sans compter pour les cheveux, les bijoux mode, les vêtements et les régimes amaigrissants, bien que je n’étais pas en surpoids. Tout pour attirer les regards. Les regards, je les attirais, mais j’attirais aussi beaucoup de gars à problème. Je voulais tellement être aimée que mes critères de sélection étaient inexistants, du moment où le gars me disait : « Tu es la plus jolie ici ce soir! » Bang! Mon cœur chavirait pour lui. Après quelque temps, les princes charmants se révélaient sous leur vrai jour et je découvrais des problèmes de toxicomanie, alcoolisme, divorce, en faillite, et même à une occasion, un gars aux prises avec des problèmes de santé mentale. C’était plus fort que moi, à chaque fois je voulais leur donner une chance quand même, mais après plusieurs relations brisées, j’en ai eu marre. Je me sentais aussi misérable qu’une fille « jetable » — servez-vous et jetez…
J’ai fini par comprendre que je ne trouverais pas l’amour dont j’avais rêvé dans les bars et je me suis lancée dans la poursuite des sensations fortes en me procurant une moto sport. Une vraie « bombe »! Là aussi, j’ai attiré bien des regards, mais quels regards? Pas chanceuse… Un jour, j’ai rencontré un gars qui faisait de la moto aussi et qui me trouvait assez charmante, bien qu’en étant dans mon jour ordinaire, sans maquillage et les cheveux plats par le port du casque. Je n’étais pas follement amoureuse de lui, mais il m’a plu assez pour accepter sa proposition d’aménager ensemble en appartement. Ça tombait bien, car j’étais un peu mal prise, mes parents me pressaient vers la porte et les siens aussi.
Malgré que nous ne fussions pas mariés, les débuts ont été assez harmonieux, c’était notre première expérience de liberté sans nos parents, et on séparait équitablement les dépenses du logement. Seulement, après quelques mois, j’ai vu entrer des tas de caisses de bières et des gens peu fréquentables. Les partys jusqu’à trois heures du matin, la fumée de cigarette à couper au couteau, c’était devenu insupportable; mais j’étais bien coincée, ne pouvant plus retourner chez mes parents qui n’avaient plus de place pour moi. Le pire du pire, c’est qu’un jour les nausées me prennent, et après un détour à la pharmacie pour acheter un test de grossesse, la nouvelle tombe comme une bombe, je suis enceinte!!!! Catastrophe… Et mon gars qui ne veut pas d’enfant…
À cette nouvelle, il réagit très mal et la violence commence; verbale au début, et physique au fur et à mesure que mon ventre grossit et que je m’entête à ne pas me faire avorter. C’était la détresse suprême : mes parents ont mal pris la nouvelle, pas d’amies vers qui me tourner, aucune solution pour sortir de ce piège qui se refermait sur moi.
Un samedi après-midi, après avoir pleuré toutes les larmes de mon corps, j’ai crié à Dieu de toutes mes forces : « Dieu, si tu existes vraiment et que tu te soucies de moi réellement, viens à mon secours! » Dans les minutes qui ont suivi mon cri, il s’est produit un miracle incroyable… Mon gars n’était plus reconnaissable, il était devenu gentil, rempli de tendresse pour moi et pour l’enfant que je portais. Wow! Dès cet instant, la persécution a arrêté complètement et j’ai pu terminer ma grossesse sereinement.
Plus tard, d’autres difficultés se sont présentées. Mon gars recommençait à boire de plus bel et à faire des bêtises alors, n’en pouvant plus, je l’ai mis à la porte. Nous avons tout de même partagé la garde de notre enfant à tour de rôle pendant plusieurs années. Quand ma fille a eu ses 6 ans, j’ai fait la rencontre d’une voisine chrétienne qui m’a parlé de Dieu comme je ne l’avais jamais entendu. C’était très spécial. Pendant plusieurs semaines, elle m’a invité chez elle régulièrement à prendre un café et à lire la Bible ensemble. Un jour, avec la Bible, elle m’a placé devant un choix : suivre Dieu, ou suivre mes propres voies. Ce n’était pas très difficile à ce moment-là de ma vie de me convaincre que mes voies n’étaient pas parfaites, loin de là. Un bon samedi après-midi, toute seule dans ma chambre, j’ai prié ainsi :
« Seigneur, j’ai vécu toute ma vie sans toi, c’est un échec et je suis malheureuse, j’ai péché. Pardonne-moi, je t’en prie. Je te donne toute ma vie . Fais-en ce que tu voudras. Amen. »
Après avoir fait cette prière, j’ai cru ne plus toucher à terre tellement j’étais transportée de la joie du Saint-Esprit. J’en ai informé aussitôt ma voisine chrétienne qui a sauté de joie également et m’a invité dès le lendemain à me joindre à son assemblée. Dès l’instant où je suis entrée là-bas, l’accueil chaleureux, les chants, la prédication, tout m’a convaincue que j’étais à la bonne place. Les années ont passé et je fréquente toujours cette même assemblée. Ma fille m’a suivi là-bas un bon bout de temps, mais a décidé un jour de suivre ses propres voies comme moi lorsque j’avais son âge. C’est triste, car je sais qu’elle souffrira beaucoup d’avoir fait ce choix, mais je prie avec l’espoir que Dieu la sauve comme il m’a sauvée. Le Dieu tout-puissant en qui je me confie a fait tellement de miracles pour moi, il est le même hier, aujourd’hui et éternellement :
« À celui qui, par la puissance qui agit en nous, peut réaliser infiniment au-delà de ce que nous demandons ou même pensons, à lui soit la gloire dans l’Église et en Jésus-Christ pour toutes les générations et pour l’éternité ! » Amen! (Éphésiens 3:19-21).
Aimeriez-vous aussi ouvrir tout grand votre cœur à Jésus pour accueillir son pardon parfait et unir votre vie à la sienne pour l’aimer et le suivre dorénavant? Il suffit d’exprimer ce désir à Dieu, en se fiant à lui.Il m'a sauvé, délivré...Avec Jésus c'est possible.
Dans Marc 16,17;Jésus dit:"Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru..."